Epave de l'avion Douglas DC3
Fin novembre 1973, avec 7 personnes à son bord, le DC3 revient d’une mission consistant à déposer un chargement à Höfn, sur la côte est de l’Islande. L’atterrissage est prévu sur l’aéroport militaire de Keflavik, au bout de la péninsule de Reykjanes à l’ouest de l’île.
Les conditions météo sont très mauvaises : il fait très froid et il tombe une sorte de grésil qui recouvre les reliefs et bouche entièrement la vue. L’équipage choisit de longer la côte sud pour la suivre des yeux et éviter de se rapprocher des reliefs cachés par les nuages et la neige.
Mais le système anti-formation de glace de l’appareil n’est pas suffisant face aux conditions de vol. Le pilote se voit forcé d’atterrir en catastrophe, là où il le peut. Ce sera la plage de Sólheimasandur, fort heureusement une grande étendue dépourvue de rochers et de reliefs.
Les conditions météo sont très mauvaises : il fait très froid et il tombe une sorte de grésil qui recouvre les reliefs et bouche entièrement la vue. L’équipage choisit de longer la côte sud pour la suivre des yeux et éviter de se rapprocher des reliefs cachés par les nuages et la neige.
Mais le système anti-formation de glace de l’appareil n’est pas suffisant face aux conditions de vol. Le pilote se voit forcé d’atterrir en catastrophe, là où il le peut. Ce sera la plage de Sólheimasandur, fort heureusement une grande étendue dépourvue de rochers et de reliefs.
Bien que l’endroit ne soit pas du tout propice à un atterrissage, le C-117 a fini par s’immobiliser sans se disloquer. Tous les membres de l’équipage sont sortis sains et saufs.